Nathan Zürcher a véritablement conquis son public tant dans le concerto de Haydn en do majeur que dans le lamentatio de Giovanni Sollima qu’il a joué en bis. Les temples étaient fort bien garnis et le public a chaleureusement applaudi, en reconnaissance des moments de musique passés. Merci à lui. Les musiciens ont inauguré une nouvelle ère avec Konradin: plus de contact, plus d’unité, plus d’écoute, plus de réactivité, pour en fin de compte plus de musique. L’orchestre a déjà éprouvé le résultat de six mois de travail. Quelques moments de véritable symbiose avec le chef, mais encore fugace. L’orchestre est prêt et a compris. Reste le travail et la persévérance. Merci à Konradin de nous ouvrir de nouveaux horizons. Bientôt sur le site des images et des enregistrements sonores.